Cette étude se base sur l’analyse croisée de l’EGT 2010, d’une enquête de mobilité réalisée en 2016 auprès de 5000 habitants de Paris et de la première couronne francilienne et d’une vingtaine d’entretiens menés auprès de Parisiens motorisés retraités ou en situation de précarité. Il s’agit, pour ces deux publics, d’évaluer dans un premier temps les taux de motorisation et l’intensité d’utilisation de l’automobile. Puis, dans un second temps, de déterminer les raisons particulières conduisant à la motorisation de ces personnes et d’évaluer l’efficacité des leviers d’action traditionnellement employés pour réduire la possession et l’usage de l’automobile à Paris.